Dans ce secteur, le label “made in France” est universellement apprécié. En Chine, comme ailleurs, les marques françaises occupent sans conteste une place de choix. La France est aussi le premier fournisseur de la Chine.
Bien sûr, le marché chinois est trop grand pour être négligé par les producteurs de cosmétiques. Mais avant d’entrer dans le jeu, vous devez en comprendre clairement la première chose—créer un nom de marque chiois―en Chine, les marques internationales ont souvent un double nom: leur nom original et leur nom en chinois (les idéogrammes seulement, le pinyin n’est jamais mis en avant).
L’instinct naturel envers la beauté me conduit à m'enivrer dans le monde cosmétique, l'éducation de la francophonie me dirige également à réfléchir aux connotations riches et mystérieuses de la culture française, et, comme une chinoise, j'adore les singuliers caractères et la splendide culture chinoise. Quand les trois se rencontrent, apparaît immédiatement une motivation de recherche.
Comme une marque étrangère, la traduction de son nom en chinois est une transformation difficile mais nécessaire: ce travail suppose de trouver un nom évoquant à la fois les valeurs de la marque tout en restant phonétiquement les plus proche de la marque d’origine. Il est presque impossible de conserver la sonorité et l’identité d’origine.
Cet article se propose d'utiliser l'analyse quantitative, en sélectionnant soixant-dix traductions en chinois de marques françaises de cosmétiques comme exemples, pour des recherches plus approfondies sur les méthodes de la traduction de la marque.
2. Les théories fondamentales
Avec une construction bien simple, la marque posséde la fonction ayant ses propres particularités, donc, il est un peu complexe de la traduire en chinois. Et, le nom de marque a la fonction informative, impérative et esthétique (expressive), donc, on doit chercher des théories appropriées de la traduction et les prendre pour guidages.
2.1 La skoposthéorie
La traduction de la marque vise à exercer à la plus grande degré la fonction de publicité de la marque pour attirer l'attention des consommateurs. En tant que pratique de la traduction, elle a un très fort caractère de but, alors j'ai décidé d'analyser les stratégies de traduction de la marque, de la perspective de la skoposthéorie dont le fondateur est Vermeer (1984).
“Ce paradigme théorique est plus particulièrement applicable à la traduction écrite.” “De ce fait, le destinataire de la traduction, avec l’effet que l’on veut produire sur lui et la réaction que l’on souhaite susciter chez lui, devient un paramètre pris en compte dans l’opération traduisante. En conséquence, l’adaptation n’est pas considérée comme un ajout à la traduction intervenant après sa production, mais comme une phase intégrée à l’opération traduisante. Cette dimension adaptative offre au traducteur une grande liberté et lui permet de laisser libre cours à sa créativité. D’ailleurs, l’évaluation de la traduction se fait alors par rapport à la fonctionnalité du texte d’arrivée.” “…et comme il existe bien souvent plusieurs manières d’exprimer un vouloir-dire de façon correcte et de telle sorte que le lecteur puisse le comprendre et l’utiliser, il y a plusieurs traductions possibles. Considérée comme une traduction possible, une traduction qui satisfait aux critères de transparence, d’efficacité et de fonctionnalité, autrement dit une traduction que le lecteur peut assimiler d’emblée à un texte rédigé spontanément par un locuteur natif, qui véhicule effectivement le même vouloir-dire que le texte original et dont le lecteur peut se servir.” (Christine Durieux 2009: 354)源'自:751`~论`文'网www.751com.cn