Donc on commence par ce que c’est le dragon chinois et le coq gaulois. Selon leurs caractéristiques uniques en comparaison des autres créatures, on peut peut-être apercevoir les relations inhérents des emblèmes nationaux.
2.1 Définition du dragon chinois et du coq gaulois
Dans cette section, on va parler de la définition du dragon chinois dans la culture chinoise et le coq gaulois dans la culture française, notamment le portrait de ces deux créatures.
En Chine et même dans le monde, personne ne sait pas exactement d’où vient le dragon. Dans la culture chinoise, le dragon ressemble plutôt à une combinaison de plusieurs animaux, corps du serpent, tête du cochon, oreilles du cerf, barbe du mouton, pattes du condor et écailles du poisson. Il est simplement un produit de l’imagination du peuple chinois. Les détails de sa morphologie varient selon les sources et les époques. Le dragon chinois est l’un des deux grands types de dragon et s’oppose au dragon européen dans le sens qu’il n’est pas automatiquement mauvais. Il représente les forces de la nature et dès lors doit être considéré avec précaution car, comme la nature, il peut être dangereux. Il existe en Chine en différentes formes et aux noms différents, néanmoins de morphologie assez semblable.
Le coq gaulois est une race de coqs français probablement le plus ancien et ce qui serait génétiquement le plus proche des coqs sauvages. Le coq gaulois est de taille modeste. Couleur des yeux : rouge orangé; couleur de la peau : blanche; couleur du plumage : Doré-saumoné; œufs à couver : min. 60 g, coquille blanche; diamètre des bagues : Coq : 18 mm ; Poule : 16 mm. En dépit de sa domestication, cette race a conservé une partie de son caractère sauvage. En particulier la poule peut voler sur plusieurs dizaines de mètres à 5-6 mètres au-dessus du sol sans difficulté.源:自*751`%论,文'网·www.751com.cn/
Au-delà de l’oiseau, le coq gaulois est souvent considéré comme un symbole national de la France, sans que cela ait un caractère officiel comme c’est le cas pour le pygargue à tête blanche pour les États-Unis. Le coq est donc l’oiseau de la lumière et de la foi, l’ennemi du mal et des ténèbres, etc.
2.2 L’origine de l’expression du dragon chinois et du coq gaulois
Comme un Chinois, on doit se demander pourquoi le dragon devient le symbole de la Chine, et quelle est l’origine de l’expression du dragon chinois. Quant au coq gaulois, on propose les même questions. Par conséquent, on doit les rechercher sous les conditions historiques particulière.
2.2.1 L’origine de l’expression du dragon chinois
La Chine est le berceau de la culture de dragon. C’est bien montré par les découverts des reliques de l’âge néolithique dans le bassins du fleuve Jaune, du fleuve Yangtze et Liaohe.
Le dragon chinois est une partie importante de la culture chinoise splendide. De nombreux chercheurs, avec beaucoup d’enthousiasme, font attention à étudier et à explorer l’origine du dragon. Mais il est difficile de déterminer une origine de l’expression géographique ou historique aux dragons. Leur apparition semble dater des premières civilisations. Parmi les chercheurs, la «théorie de la fusion de totem» de M. Wen Yiduo est la plus célèbre. Aujourd’hui, nous parlons de cette théorie de M. Wen.
Quel est le totem? Selon l’expert américain Morgan, «Totem» est un mot indien qui signifie «les ancêtres». Le culte de totem est la plus ancienne conscience religieuse dans la société primitive et il existe partout. Mais de nombreux chercheurs chinois soulignent que le «totem» est originaire de la Chine, bien que ce point de vue soit personnel, un grand nombre de données historiques sont suffisants pour prouver que le culte de totem existait dans la Chine ancienne.